Quel est le statut socio-économique des togolais ? Comment sont-ils répartis sur le territoire national ? Est-ce que le Togo est plus jeune ou plus vieux ? Qu’en est-il dès lors de la pyramide des âges et quelle est leur intégration économique ? Quels sont les besoins des ménages et des individus selon les échelles spatiales ? Sous le leadership apprécié du Distingué Militant Faure Gnassingbé du parti Union pour la République (UNIR), le cinquième recensement général de la population et de l’habitat a été lancé. Le dernier datant déjà de douze ans.
Depuis le 23 octobre dernier, les agents recenseurs parcourent les ménages sur toute l’étendue du territoire national à la quête d’informations demandées pour mettre à jour les chiffres et les dynamiques démographiques et socio-économiques.
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Une telle opération en lien avec les ambitions de la feuille de route gouvernementale 2020-2025 vise principalement à renforcer la planification des politiques et programmes de développement mais surtout la satisfaction des besoins sociaux des populations. En effet, en recensant il s’agit de rendre disponible une base de données actualisées et fiables sur les taux de fécondité, le logement, la santé, l’éducation, l’espérance de vie ainsi qu’une cartographie des besoins des personnes interrogées avec un géoréférencement des infrastructures socio-communautaires.
Sur la base de son projet de société, le Distingué Militant, Faure GNASSINGBÉ a fait le choix de concentrer toute son attention sur les mécanismes d’amélioration des conditions de vie des togolais et de faire constamment baisser le coût du panier de la ménagère. Dès lors, un point d’honneur est mis sur la réduction des inégalités sociales, la protection sociale, afin d’élargir progressivement l’inclusion à toutes les couches de la population et de renforcer la contribution du secteur social. Et un dénombrement du genre semble l’outil le plus efficace malgré son coût : 8,6 milliards de francs CFA.
