Prévision d’une croissance de 6,6% en 2023 : Une économie solide et résiliente malgré la tempête.

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Le Togo a de la résilience et dès lors du mérite. Ces trois dernières années, les crises incessantes et interconnectées ont bouleversé les perspectives. Dès 2020 déjà, la crise sanitaire a pris l’économie par surprise. En novembre 2021, l’attaque d’une position de l’armée à Sanloaga dans la préfecture du Kpendjal a fait du Togo, une cible du terrorisme.

En 2022, les revers de l’invasion russe en Ukraine ont plombé presque les acquis de la lutte contre la pauvreté. Mais les bonnes pratiques et les réformes insufflées par le Distingué Militant Faure E. GNASSINGBE ont valu au Togo, une résilience à nulle autre pareille. D’une croissance de 1,8% du PIB en 2020, le pays a remonté la barre jusqu’à 6% en 2021 avant de se stabiliser à 5,8% à fin 2022 et de se projeter pour 6,6% en 2023.

Pour réussir cette trajectoire de croissance plus élevée que prévue malgré la tempête, le Distingué Militant a opté pour une efficacité dans les recettes et les dépenses publiques avec au rang de priorité la santé, la sécurité, l’éducation, l’agriculture et la gouvernance. Dans l’actuel contexte sécuritaire, l’urgence est de favoriser plus d’inclusion et, en même temps, de lutter contre la pauvreté dans les contrées exposées et d’éviter un recrutement au sein de la population par les bandes armées. En simultané donc avec la feuille de route gouvernementale, un plan d’urgence dédié à la région des Savanes est mis en route. De 259 milliards FCFA, “son objectif est de réduire les vulnérabilités et de construire les infrastructures sociales et économiques de base : écoles, dispensaires, pistes, ponts…”

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Comme en 2021 ou encore en 2022, le Président de la République et Distingué Militant a misé en 2023 sur des investissements massifs dans les secteurs sociaux. Près de 50 % du budget y est consacré à hauteur de 623,4 milliards de FCFA au total soit environ 49,3% de l’ensemble du budget contre 522 milliards de FCFA en 2022. Il s’agit de faire face aussi bien à la décélération économique et à la dégradation sociale en investissant la productivité de l’agriculture pour mieux valoriser les rendements. Cela passe par le soutien aux producteurs et une disponibilité des intrants. Dans le secteur de la santé, l’efficacité continuera d’être renforcée pour soutenir et réussir les mesures de protection sociale à l’égard des femmes enceintes et des enfants, baissant du coup, les niveaux de mortalité maternelle et infantile.

L’éducation, elle bénéficie depuis bien longtemps d’une plus grande attention du Distingué Militant. Du périscolaire à l’Université, maintes mesures de gratuité ont permis de rendre dynamique le système éducatif togolais. Dans le même temps les investissements publics et privés sont également en hausse. L’inflation tirée par les prix des produits alimentaires, du transport, du logement, du gaz et de l’électricité est modérée par les mesures prises par le Chef de l’État. Et cela doit se poursuivre en 2023. Selon le Ministère de l’Economie et des Finances, la mise en œuvre de la politique de gestion des finances publiques, traduit dans le Document de programmation économique et budgétaire pluriannuel (DPEBP 2023-2025), devrait permettre “d’accompagner efficacement le renforcement de la résilience économique, la réduction des vulnérabilités nationales ainsi que l’amélioration du bien-être des populations”.

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